Erreur 1: Ignorer votre douleur trop longtemps
Ignorer votre douleur trop longtemps conduit généralement à une situation qui s’empire. Si il est vrai que la plupart des maux de dos s’en vont par eux même dans les 4 à 6 semaines sans traitement spécifique, cela ne veut pas dire que la cause de la douleur a disparu.
La nature des crises douloureuses est d’être intermittente mais dans la plupart des cas, la fréquence, la durée et l’intensité de ces crises ira en augmentant. Chaque année, la situation risque d’être plus sérieuse que l’année précédente et le vieillissement de l’organisme accentue ce phénomène.
Serrer les dents pour traverser la période douloureuse n’est donc pas une réponse adaptée ni suffisante. Ne pas dépendre uniquement de son généraliste est important et consulter un spécialiste est souvent utile. Cependant, s’informer soi-même en profondeur de tous les tenants et aboutissants est essentiel pour renverser les causes primaires qui ont engendré votre mal.
Erreur 2: Surconsommer des anti-douleurs et anti-inflammatoires
Le soulagement obtenu par ces substances peut être appréciable, mais ces substances encouragent à ignorer les causes de la douleur plus longtemps. Quand la douleur revient, elle est souvent plus forte qu’avant ce qui risque de démarrer un cercle vicieux et une dépendance aux anti-douleurs.
D’autre part, les anti-douleurs sont toxiques pour l’organisme. Les organes vitaux et les tissus sont affectés ainsi que le système nerveux. L’accumulation de ces toxines chimiques diminue graduellement les capacités de l’organisme à récupérer d’une manière naturelle.
Erreur 3: Opter pour la chirurgie de manière prématurée
Face aux douleurs à répétition et aux demandes du patient, les spécialistes du dos auront tendance à proposer une intervention chirurgicale en tant que réponse à une anomalie constatée sur une radio. Cependant, la chirurgie présente un taux de succès très faible et de gros risques pour le dos.
Chaque opération présente des chances d’aggraver votre problème de dos à cause d’une infection, d’une mauvaise cicatrisation ou des dommages à des nerfs.
De manière générale, il ne faut opérer qu’en cas d’urgence grave, quand les radios ont démontré une pression excessive sur un nerf et quand toutes les alternatives pour débloquer le nerf, y compris la décompression axiale, ont été essayées d’une manière sérieuse.
Erreur 4: Rester immobile
Face à la douleur, un réflexe est d’arrêter de bouger. Chaque mouvement présente un risque de déclencher plus de douleurs et il semble donc préférable de rester assis ou couché. Pourtant, les études montrent que le mouvement est une manière efficace de prévenir les problèmes de dos, de calmer la douleur et surtout d’éviter que la douleur réapparaisse plus forte qu’avant.
Le mouvement stimule la circulation sanguine essentielle au bon rétablissement et à l’oxygénation des tissus. Le mouvement stimule également le système respiratoire et let système immunitaire. D’autre part, le mouvement stimule la production d’endorphines, notre anti-douleur naturel sécrété dans le cerveau et le système nerveux. Les endorphines sont essentielles car elles calment la douleur de manière très efficace mais elles améliorent aussi l’influx nerveux et donc la qualité de la réponse immunitaire.
N’attendez pas que la douleur disparaisse complètement. Dès que possible, sortez et pratiquez la marche en respirant profondément. Le kinésithérapeute pourra vous conseiller les meilleurs mouvements et exercices physiques compatibles avec votre condition physique.
Il existe une solution naturelle et efficace afin de soulager efficacement votre mal de dos : Le Champ de Fleurs est un matelas de stimulation nerveuse qui est spécialement calibré pour déclencher la sécrétion d’une puissante dose d’endorphines. Les endorphines agissent comme antidouleur, et relaxant puissant, mais sont produites par votre propre cerveau et sont excellentes pour réguler votre organisme. Détente profonde, douleurs soulagées, sommeil amélioré, stress évacué, bien-être intense, ne manquez pas l’expérience Champ de Fleurs. Voir l’article du Figaro sur le Champ de Fleurs.
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