Antidouleurs et anti-inflammatoires : naturels ou chimiques, quelle différence ?

La journée mondiale de lutte contre la douleur, organisée le troisième lundi du mois d’octobre, est une bonne occasion de faire le point. D’une part, sur les antidouleurs et les anti-inflammatoires naturels ou synthétiques et, d’autre part, sur les thérapies alternatives comme l’acupression, à l’action reconnue sur la production d’endorphine.

Médicament, la réponse pharmacologique à la douleur

Quand on a mal, et a fortiori quand on souffre de douleurs chroniques, il est important de connaître les solutions propres à apporter un soulagement ou une sensation de mieux-être. Outre un impact physiologique évident, en effet, la douleur peut également avoir des répercussions psychologiques et sociales, surtout lorsqu’elle perdure.

Étape essentielle de tout processus de guérison, la prise en charge de la douleur passe souvent par la prescription d’antalgiques. Ces produits chimiques, également appelés analgésiques, sont classés en trois niveaux selon leur puissance d’action. Plus ils sont forts, plus leurs effets secondaires sont nombreux et sévères : des « simples » problèmes gastriques pour les antidouleurs de palier I (tels que les anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou AINS) aux risques de dépendance physique pour les opioïdes de palier III (morphine et dérivés). Sans oublier toute une cohorte de troubles intermédiaires plus ou moins gênants au quotidien : constipation, nausées, vomissements, difficultés respiratoires…Pour autant, il est indispensable de lutter contre la douleur, et de préférence dès ses premières manifestations : à la fois pour éviter l’aggravation des symptômes ou leur chronicisation, et pour accélérer le rétablissement ou, à défaut, retrouver une certaine qualité de vie.

Les antidouleurs et anti-inflammatoires naturels

Pour se prémunir contre les effets indésirables liés à l’absorption de molécules chimiques, mieux vaut privilégier les solutions antidouleurs et anti-inflammatoires naturelles. Phytothérapie, aromathérapie, acupuncture, ostéopathie, sophrologie… Ce ne sont pas les possibilités qui manquent ! Mais si ces thérapies ne présentent aucun des dangers traditionnellement associés à la consommation de substances médicamenteuses, elles ont l’inconvénient de ne pouvoir être mises en œuvre sans un minimum de connaissances (propriétés thérapeutiques des plantes, vertus des huiles essentielles, par exemple) ou d’assistance extérieure (consultation d’un spécialiste, encadrement par un praticien, etc.).

L’acupression, une alternative naturelle éprouvée

À la différence d’autres méthodes de soulagement naturel, l’acupression est une technique qui peut être mise à profit par tout un chacun, chez soi, sans formation particulière ni intervention d’un tiers. Comment ? Grâce à des équipements spécifiquement conçus à cet effet, tels ceux proposés par les laboratoires Bioloka : du tapis au set de jambe en passant par le coussin Champ de Fleurs, et de l’Acuball à l’Acuback, ces différents dispositifs permettent de profiter en toute autonomie des bienfaits de l’acupression.

Inspirée de la médecine traditionnelle chinoise, l’acupression combat avec efficacité les douleurs rebelles grâce à la stimulation de la production d’endorphine, une hormone sécrétée par l’organisme. Difficile de trouver un antidouleur plus naturel!

Cette substance endogène possède par ailleurs un effet analgésique comparable à celui de la morphine. Difficile, là aussi, de trouver un produit plus puissant!

Plus d’information sur le Champ de Fleurs et l’acupression en cliquant ICI

Source :
Soulager la douleur chronique ? De l’espoir… [Passeport santé]
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/ArticleComplementaire.aspx?doc=douleur_chronique_medecine_integree_do

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